⊰pile je te tue, face tu es mort.

❝ winifred roosevelt

Bonjour, je me présente : Je suis Winifred Roosevelt et j'ai 18 ans depuis le 30 décembre 1993. Je suis d'origine d'Irlande et je suis étudiante et serveuse au Mystic Grill. Je suis célibataire et bisexuelle. Je fais parti(e) du groupe des sorcières et je suis Lily Collins . Merci à bazzart et tumblr pour les créations

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Les apparences sont trompeuses, et ça me définit absolument bien; je joue d'ailleurs avec ce que pense les gens de moi la première fois. En effet, au premier abord je parais plutôt être une jeune femme naïve et sensible. Amicale, on a l'impression que je suis timide, ils n'ont finalement pas si tort de penser cela étant donné que je fais exprès de passer pour une timide malgré que je sois sociable au fond, en fait je suis plutôt bavarde. Je m'invente une personnalité afin que l'on croit que je suis totalement inoffensive, qu'on pense que je ne ferais pas de mal à une mouche, malheureusement c'est tout le contraire. Depuis la mort de presque l'intégralité de ma famille et de ma passade ou j'étais légèrement dingue ne contrôlant pas vraiment les pouvoirs que j'avais; j'étais une vraie manipulatrice. Je ferais n'importe quoi pour obtenir ce que je veux, notamment la vengeance que j'avais promis à mes proches décédés, je ne l'avais pas encore eu entièrement et je comptais évidemment y remédier. Tout ce que je veux, c'est blesser les gens ou du moins ceux qui le méritent, leur montrer ce qu'est la souffrance, la vraie, et pour se faire j'allais jouer avec leurs sentiments, leur faire bobo là ou ça fait mal, tout ça juste pour la famille détruite par les pauvres sangsues du coin. Bien évidemment, aujourd'hui je m'étais calmée grâce à la cure que j'avais subis, mais je n'étais pas complètement clean et je ne comptais pas lâcher l'affaire de si tôt; je devais le faire, pour eux, ils le méritaient. Malgré cette facette que je me suis créée, je ne suis pas non plus totalement machiavélique c'est juste que j'ai été blessée et une sorcière blessée ne fait pas bon ménage; je suis tout de même sympathique quand on me connait bien, j'aime rire et ne prend pas grand chose au sérieux. J'accorde difficilement la confiance à quelqu'un à cause des évènements qui se sont produits; je suis fêtarde et pas du tout studieuse. De nature optimiste, je ne lâcherai pas une affaire pour rien au monde, j'aime obtenir ce que je souhaite quitte à sacrifier certaines choses. Je suis curieuse et très protectrice envers les personnes auxquelles je tiens mais elles se font rare même beaucoup.

il était une fois
Mon père, ma mère, ma grande et petite sœur, mon frère et puis moi. J'ai longuement cru que j'étais une fille totalement banale vivant avec une famille des plus ordinaires dans un petit village perdu en Irlande. Certes ça paraissait tellement ennuyeux mais finalement, moi ça me plaisait même si ce n'était pas ce que je laissais paraître à cette époque. Ce petit train train quotidien où les seuls plus gros soucis que j'avais étaient de travailler à l'école dans l'espoir de réussir à l'avenir et pouvoir peut-être vivre une vie un peu plus mouvementée ? Quels regrets. Aujourd'hui, j'aimerai tellement retourner à cette vie là, quand j'étais une simple gamine naïve qui croyait encore aux contes de fées, qui rêvait de se marier avec la perle rare et de construire une magnifique famille avec une fois adulte; en gros tout ce que les filles de mon âge tentaient d'espérer. Comme vous l'aurez compris je ne suis pas voyante et ça s'est passé un chouïa différemment, ouais juste un peu.

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« elle revient quand 'spen ? » demandai-je intriguée à ma mère, assise devant un feu. Aspen ? C'est ma grande soeur, ou du moins c'était; mais du haut de mes dix ans je ne comprenais pas réellement son départ soudain de la famille. On tentait sans cesse de me rassurer comme quoi elle reviendrait dans peu de temps, qu'elle était avec des amis, puis que finalement elle était allée voir de la famille et le dernier mensonge en date était celui qu'elle faisait un long et pénible voyage, donc elle ne risquait pas de revenir de si tôt finalement. Mais moi j'en avais marre, je voulais avoir de ses nouvelles, j'avais besoin de la contacter, de la voir, d'entendre sa voix pour me rassurer qu'elle est encore en vie. Oui, parce que je commençais petit à petit à croire qu'elle était bel et bien morte, mais je me refusais de penser une idée pareille, ma Aspen était bien trop forte pour nous quitter maintenant, déjà. « chérie, c'est la quatrième fois que tu me demandes aujourd'hui. Bientôt, Wini. » rétorqua t-elle exaspérée par la question répétitive que je ne faisais que de lui poser. Je soupirai, j'en avais marre d'avoir sans cesse la même réponse. ' bientôt ', ça signifie quoi ça, est ce que c'est censé m'aider ? « c'est quand bientôt ? » « bientôt j'te dis !» répondit aussitôt ma mère d'un ton agacé et énervé. Elle me jeta un regard noir comme pour me faire comprendre qu'il fallait que je me taise, que j'arrête mes questions, que je ne m'occupe plus d'Aspen, que je l'oublie. Je continuais jour après jour à me torturer l'esprit concernant le départ si prompt de ma grande soeur. J'essayais de comprendre, de renouer les derniers évènements qui s'étaient produits pour tenter de trouver ne serait-ce qu'une quelconque hypothèse, une explication quant à sa disparition si soudaine.. Malheureusement je ne trouvais rien, je ne voyais pas ce qui avait pu la faire fuir et j'étais bien la seule à m'en soucier. Tout le monde continuait à vivre sa vie, pas un n'essayait de chercher à la retrouver, à la contacter. Ma petite soeur était certes trop jeune pour cela mais mon frère ? Mes parents ? Aucuns d'eux ne se manifestaient. Et je compris rapidement que le 'bientôt' de ma mère n'était qu'une parole en l'air, histoire de me donner une réponse pour que je me taise et la laisse tranquille par la suite, croyant que ce serait suffisant .. Elle était bien naïve de penser ça, j'allais pas en rester là bien au contraire; je savais qu'ils me cachaient quelque chose. Mais pourquoi? Me protéger sans doute, reste à en savoir la cause. Les semaines passées et je continuais sans cesse de penser à ça, ignorant même ma famille, ainsi que l'école. Je n'avais que onze ans et je me fichais déjà des 'études', j'avais un niveau scolaire pire que médiocre, je ne faisais rien, enfin en fait j'avais pas le temps.

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« salle garce, rends le moi. » lançai-je d'un ton menaçant à la blondasse écervelée située en face de moi qui tenait mon journal intime entre ses mains. « bouuuuh, winifred chou va pleurer voir momaan? Si tu le veux Roosevelt, viens le chercher. » répondit-elle fière de m'avoir énervé et amusée face à la situation. Je vous avais déjà parlé de Pippa ? Cette pétasse qui ne faisait que de me pourrir la vie avec ses toutous derrière elle qui la suivaient partout. Elle ouvrit délicatement mon journal, je serrais les dents commençant sérieusement à m'énerver. « .. rends le moi maintenant j'te dis. » je pris une grande respiration essayant de combattre l'envie de me jeter sur elle et de lui arracher la tête. « bah quoi ? Winifred a peur de venir le prendre elle même ? » rétorqua t-elle un sourire narquois sur les lèvres. Je fronçais les sourcils déjà agacée qu'elle m'appelle par mon prénom en entier. J'étais sur le point de lui arracher les dents, de lui faire bouffer le bitume et même d'enflammer sa longue chevelure dorée et bouclée. Je fixais d'ailleurs ceux-ci m'imaginant la scène et je ne pu m'empêcher de ricaner intérieurement, la blondie serait complètement folle à l'idée de perdre ses boucles d'or. Ne les lâchant pas du regard je restais concentrée sur sa chevelure ne sachant pas vraiment pourquoi jusqu'à ce qu'une étincelle se produise.. je sursaute ne comprenant pas ce qu'il se passe. Elle cria, laissant tomber mon journal intime par terre, elle était effrayée en constatant que ses cheveux blonds prenaient feu et se réduisaient petit à petit en cendre. Un petit sourire se nicha au coin de mes lèvres malgré la situation, je ne perdais pas une miette face à ce spectacle, comme quoi ma bonne étoile était avec moi aujourd'hui. Malheureusement on vint vite l'aider, mais au moins j'avais eu ma petite vengeance ne sachant pas trop comment d'ailleurs, quant à elle, elle chialait à n'en plus finir. Quelle pauvre fille, j'en avais presque pitié, mais c'était pas le cas bien sûr. Le jour qui suivait alors que je refermais calmement mon casier, la blondie enfin plus vraiment maintenant à cause de moi, disons la chauve xD, me fit sursauter à côté de moi. Elle avait un bandeau et avait l'air de souffrir de la perte de ses cheveux, je ricanais légèrement en fixant le haut de son crâne histoire de me moquer d'elle pour lui montrer qu'elle avait perdu cette fois ci, c'était tellement plaisant il fallait que j'en profite. « Salle sorcière tu vas me le payer. » me lança t-elle en me dévisageant. Je ris en me moquant d'elle, elle m'avait attribué un nouveau surnom; sorcière ? C'était plutôt stupide .. quoi que pas tant que ça, au fond comment ça se fait que ses cheveux ont tout d'un coup brûlé et comme par hasard je les fixais l'air de rien. Et si c'était moi? Et si je les avais brûlé sans le savoir ? Et si elle avait raison .. si en réalité j'étais une sorcière ? Totalement absurde c'est impossible.

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Les semaines passées, de nature très curieuse j'avais fouillé dans la bibliothèque de ma mère. J'étais tombée sur certains livres que je n'étais pas censée voir, ils parlaient de sorcellerie et un notamment était le journal de ma mère, je ne pouvais pas m'empêcher, je l'avais lu. Dans son intégralité. Maintenant, je ne pouvais pas le nier, j'étais bel et bien une sorcière, cette pouf avait raison; j'avais l'impression d'être un monstre, quelqu'un d'étrange, de différent. Ca me faisait peur, je ne voulais pas vraiment voir la réalité en face, j'aurai préféré rester la fille banale d'avant, celle qui n'avait rien à se soucier. Seulement je commençais à comprendre certaines choses.. Et si ma grande soeur était partie à cause de ça ? Peut-être qu'elle aussi n'acceptait pas le fait d'être ce qu'elle était et a donc prit la fuite ? Je ne savais pas vraiment comment m'y prendre, ça en faisait beaucoup trop d'un coup et je n'osais certainement pas en parler à ma mère qui ignorait encore ce que je savais, que j'avais fouillé dans ses affaires. Certes c'était pratique cette histoire de pouvoir quand je voulais me venger, mais encore faudrait-il savoir me contrôler et ça ce n'était absolument pas gagné, d'ailleurs j'avais légèrement voire beaucoup pété les plombs pendant une certaine période.. En effet, c'était quelques semaines après ma découverte, le monde de la magie m'était encore inconnu et je ne savais pas vraiment vers qui me tourner; certainement pas à ma mère, ni mon père, je ne m'entendais plus avec eux depuis que je séchais fréquemment les cours. Faut dire que la vie là-bas devenait insupportable, tout le monde me regardait comme une sorcière, ce que je contestai bien évidemment mais au fond ils avaient tous raison. Ma petite soeur était encore bien de trop jeune, je ne pouvais rien lui dire mais me retrouvant seule je m'étais rapprochée d'elle lui racontant tout ce que je pouvais bien qu'elle ne comprenait pas vraiment tout, c'est pas bien grave, moi ça me faisait du bien et c'était le principal.. Bref c'était la seule à qui je me confiais et en qui j'avais totalement confiance. Malheureusement pour moi, cela n'a pas duré plus longtemps. Un soir alors que j'étais sortie tard comme à mon habitude, lorsque je rentrais à l'intérieur de chez moi je m'attendais à ce que mes parents me remarquent et me fassent la moral comme d'habitude. Seulement, le pas de la porte franchi et la porte refermée, mes parents, mon frère et ma soeur était assis sur le canapé ne bougeant pas d'un poil face au feu de cheminée. Derrière eux, je ne les avais pas encore vu mais je me demandais pourquoi ils ne disaient rien, pourquoi ils restaient statiques pourquoi ils étaient si calme. « maman ? » demandai-je intriguée. Aucune réponse. « papa? » dis-je cette fois ci d'une voix peu rassurée.. Aucune réponse également. Je commençais sérieusement à me demander ce qu'il se passait, puis d'un pas décidé, je m'approchais rapidement vers eux espérant que ce n'était qu'une simple blague. Quelle horreur. La pire vision de ma vie, la plus effrayante, marquante, dégoutante, épouvantable, terrible, monstrueuse [...] . Ils étaient tous là, assis devant moi, alignés comme des pions les yeux ouverts encore terrifiés, ils se tenaient la main; ils avaient tous un point commun, une morsure, précisément au cou, ils étaient tous vidés de leur sang, tous. J'étais effondrée par terre, mes larmes ruisselaient sur mes joues j'avais tout perdu, TOUT. J'avais plus personne, plus d'amis, plus de parents, plus de frère, plus de soeur, tout simplement plus de famille ! J'avais devant moi une acte commis par un criminel qui avait prit le soin de disposer correctement ses victimes, et ce n'était pas n'importe quel criminel, mais je l'ignorai encore. J'étais en colère, tellement en colère que j'étais prête à faire n'importe quoi, je n'avais plus rien à perdre étant donné que c'était déjà le cas, je voulais tout foutre en l'air, faire disparaitre tout le monde. J'avais soif de vengeance, j'étais remplie de haine et je devenais sérieusement agressive. Encore jeune sorcière, je ne connaissais pas entièrement mes pouvoirs et surtout je ne les contrôlais pas, absolument pas. Lisant tout les bouquins de sorcellerie, je faisais du mal aux personnes que je rencontrais dans l'espoir d'avoir ma vengeance me fichant de ce qu'ils pouvaient ressentir; je voulais qu'on m'entende, qu'on comprenne la douleur qu'on m'avait affligée et de la leur rendre à leur tour. Je devenais définitivement folle dingue, et je commençais à devenir vraiment dangereuse allant plus que blesser un tout petit peu certaines personnes; je faisais de plus en plus mal et je connaissais davantage la sorcellerie je pouvais donc facilement m'en servir dorénavant. Cependant ça me détruisait à petit feu mais heureusement, ma tante m'avait repris sous son aile en me ramenant à la raison et en me faisant subir une cure afin que je me calme et que j'oublie la sorcellerie quelques temps. C'était dur, voire même très dur mais je n'avais pas le choix. Grâce à elle, aujourd'hui je me suis calmée, et je n'ai plus l'envie de tuer le prochain innocent que je vois; quoi que cette folie pourrait très bien revenir bientôt étant donné que j'en garde quelques séquelles. Afin de m'aider à 'oublier' le maximum, je suis partie vivre à Mystic Falls, croyant que c'était une ville tout à fait calme et ce serait bénéfique pour moi. Ce n'était qu'en apparence seulement car quand on y regarde de plus près c'était bien plus que ça, puis sachant ce que j'avais vécu, je risquais de m'amuser encore un peu, j'étais devenue horrible et on ne pouvait rien y faire.

yes i am

J'ai 15 pissenlits depuis novembre, scorpionne hehe, j'vis dans un coin pommé en basse Normandie où il pleut généralement éè Mon pseudo était JESSOU* mais depuis peu c'est sleep away, mais appelez moi Jessica ou autre, as u want mes p'tits lapins ⊰pile je te tue, face tu es mort. 1330857165